Les jours de classe, nous glissions dans la cour de l'école ; nous prenions l'élan près de la remise de la pompe pour glisser sur toute la longueur de la cour et aboutir devant le pressoir. Avant la nuit, nous arrosions un peu pour que la surface gèle, et le lendemain, c'était un miroir. Il y avait des maladroits qui tombaient bien vite, et les champions, qui, eux, se baissaient, se relevaient, ou sautaient.
D’après Marie Marcillat : « A l'écuelle du chat »
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